La Balade des tordus

La Balade des tordus
Michel Châteauneuf
Roman noir

La Balade des tordus, La Veuve noire éditrice, Coll. Le Treize noir, 2006
ISBN : 2-923291-05-0

Quatrième de couverture :

Une horde de Hells Angels pourchasse un psychopathe nécrophile, lequel s’associe à une naine infanticide, elle-même poursuivie par les membres d’une secte, l’Ordre des Anges d’Andromède. Ce maelström emporte également un enquêteur pédophile tentant d’échapper à sa destinée. Le décor est un Québec fouetté par d’incessantes tempêtes de neige et de verglas. Bref, un roman noir sur fond blanc.

Extraits de la critique :

«Il faut avoir les reins solides pour sauter dans l’obscurité de ce polar […] car Châteauneuf frappe à grands coups de poing dans les tabous. […] En une seule intrigue, il a réuni les personnages les plus ignominieux possible, tous liés par une histoire de meurtres en série.»

Karine Gélinas, VOIR, 7 septembre 2006

«Malgré lui, le lecteur ébahi, quelque peu secoué, est entraîné dans ce récit glauque tellement trash qu’il finit par être sa propre caricature. […] Poursuites, coups fourrés, fusillades, meurtres et torture succèdent à des scènes de perversion sexuelle et autres turpitudes, le tout mené tambour battant par un auteur qui sait malgré tout raconter une histoire et accrocher son lecteur. En effet, hypocrite lecteur, mon semblable, mon frère, je suis bien obligé de constater, non sans une certaine gêne, que je l’ai lu ce livre, jusqu’au bout, avec une sorte de plaisir pervers fait d’attirance et de répulsion.»

Norbert Spehner, ENTRE LES LIGNES, hiver 2007

« […] l’auteur offre un roman noir captivant, et dresse un efficace portrait d’une microsociété bouleversante, où crimes et pratiques illicites visent la survie de ceux qui les commettent. Remarqué dès sa publication, le récit est efficacement servi par la plume précise de l’écrivain, qui fait un usage extrêmement habile de l’allégorie.»

Véronique Pépin, ART LE SABORD n°76, printemps 2007

« […] l’intrigue est habilement menée, avec un rythme qui ne se dément pas et quelques clins d’œil à la région en prime. Disons plutôt que le roman, très particulier, ne s’adresse pas à tous, mais qu’il en séduira plusieurs. Et sans aller jusqu’à parler de véritable réflexion sociale, voyons-y un divertissement très cru, intense et bien mené, à prendre comme tel dans une littérature québécoise qui se révèle souvent frileuse de ce côté.»

Cindy Levesque, LE NOUVELLISTE, 30 septembre 2006

«Ce roman noir au ton ironique, caustique et provocateur ne laissera personne indifférent.»

Geneviève Désilets, LE LIBRAIRE, novembre-décembre 2006

«Inclassable, violent, totalement gratuit et maladivement divertissant!»

Norbert Spehner, ALIBIS n°21, été 2007

«Tout au long du récit règne un climat putride. […] Trop, c’est trop. Le réalisme sordide est trop indigeste. On lui pardonne à cause de son premier roman La quête de Perce-Neige qui nous a révélé un écrivain prometteur […]»

Abbé Jean Panneton, LE RALLIEMENT, décembre 2006

Honneurs :

Finaliste au Prix des bibliothèques publiques CQLM 2007
Finaliste au Prix de littérature Clément-Morin 2007